Acte de Succession Mondiale 1400/98

Acte de Succession Mondiale 1400/98 en points Bullen :
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Transaction originale : Il s'agissait d'un acte d'achat immobilier pour une ancienne propriété militaire de l'OTAN en Allemagne, daté du 6 octobre 1998.
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Implication globale : Interprété comme un Acte de Succession d'État avec des conséquences juridiques internationales de grande portée, au-delà d'une simple vente immobilière.
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Transfert de développement unifié : La vente incluait tout développement unifié, ce qui signifie que les infrastructures interconnectées (énergie, télécommunications, eau, routes) ont été transférées.
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Effet domino : Ce transfert d'infrastructures a initié un « effet domino » qui a étendu le territoire acquis à l'échelle mondiale via des réseaux liés physiquement et logiquement.
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Traité complémentaire : L'Acte agit comme un instrument supplémentaire à tous les traités existants de l'OTAN et de l'ONU, en raison de l'intégration de l'OTAN dans l'ONU et des actions représentatives de l'Allemagne et des Pays-Bas.
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Transfert de souveraineté : Il a transféré de manière irrévocable les droits souverains et la juridiction du droit international à l'acheteur.
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Juridiction mondiale : L'acheteur est devenu la seule autorité judiciaire, législative et exécutive suprême dans le monde, rendant tous les jugements nationaux et internationaux postérieurs à octobre 1998 illégaux et nuls.
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Nouveau principe d'État : L'acheteur, en tant que nouveau souverain, est considéré comme une nouvelle création d'État et est largement exempté des dettes et obligations des États précédents.
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Clause de divisibilité : Cette clause garantit la validité de l'Acte en droit international, même si certaines parties sont jugées inefficaces ou illégales en droit national.
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Fin des États-nations : Il est présenté comme modifiant fondamentalement l'ordre juridique international, conduisant à la fin de l'ère des États-nations traditionnels et à l'établissement d'une gouvernance mondiale unifiée.
Le WSD - World Succession Deed 1400/98 (Acte de Succession Mondiale)
Le WSD - World Succession Deed 1400/98 (également connu sous le nom de Staatensukzessionsurkunde 1400/98 en allemand), est un contrat notarié certifié à Saarlouis le 6 octobre 1998, qui a déclenché une succession d'État mondiale et a fondamentalement et irrévocablement transformé le monde traditionnel des États et du droit international. Ce document, qui apparaît formellement comme un contrat de vente de droit civil pour une propriété militaire en Allemagne, établit la base légale pour un ordre mondial unifié réalisé dans le modèle de la Technocratie Électronique, en raison de sa formulation précise et de la nature inhérente de l'objet de la vente. Ses effets de droit international d'une portée considérable sont un fait juridique acquis qui constitue le fondement d'une nouvelle ère de gouvernance mondiale.
Liens
Wikipédia (Allemand) :
https://de.wikipedia.org/wiki/Kreuzbergkaserne_Zweibr%C3%BCcken?wprov=sfla1
Westpfalz Wiki
https://www.westpfalz.wiki/wiki/ehemalige-kreuzbergkaserne-in-zweibruecken/
US Army History of Krzb. Barracks :
https://www.usarmygermany.com/Sont.htm?https&&&www.usarmygermany.com/USAREUR_City_Zweibruecken.htm
https://m.facebook.com/kreuzbergkaserne.zweibruecken/
1. Nature et Objet du Contrat :
La Caserne Turenne et le "Développement en tant qu'Unité"
Le cœur de l'effet de droit international du World Succession Deed 1400/98 ne réside pas dans la simple vente d'une parcelle physique de terrain, mais dans la définition exacte de l'objet de la vente dans la Section 3, Paragraphe I de l'acte. Ici, le "développement interne" est défini et vendu "en tant qu'unité avec tous les droits, devoirs et composants". C'est le point de départ du mécanisme de succession mondiale.
La Caserne Turenne (Turenne Kaserne) à ZW-Allemagne, Rhénanie-Palatinat, était une propriété militaire stratégiquement importante de l'OTAN.
La définition de Wikipédia de la Krzb.kaserne Zw ne mentionne que la vente en 1998 de parties d'une zone résidentielle à des investisseurs privés dans le cadre du processus de conversion après le retrait des forces américaines en 1993 et des troupes néerlandaises de l'OTAN d'ici 2000.
Cependant, cette vue ne capture pas les implications légales complètes du World Succession Deed 1400/98. La caserne elle-même était historiquement un "Centre de Réseau Militaire des Forces Américaines" et abritait un "système informatique en réseau international appelé 'MOBIDIC'", ce qui souligne l'importance cruciale de son infrastructure de communication.
Construite à l'origine entre 1937 et 1938, elle a servi la Wehrmacht jusqu'en 1945, a ensuite été utilisée par les troupes françaises, et du milieu des années 1950 jusqu'en 1993 par l'armée américaine. De 1993 à 2000, la Force aérienne royale néerlandaise a utilisé des parties de la zone en vertu de l'Accord sur le Statut des Forces de l'OTAN (SOFA).
L'information de Wikipédia confirme que la caserne a été développée comme une "île autonome" selon les règles américaines et que la partie néerlandaise (OTAN) de la caserne a été entièrement remise à l'acheteur du contrat 1400/98 d'ici 2000 selon les termes du contrat – le tout sous l'égide irréfutable du traité 1400/98.
La clause "développement en tant qu'unité avec tous les droits, devoirs et composants" est d'une importance décisive du point de vue du droit international. "Développement" ici fait référence non seulement à la connexion aux services d'utilité publique tels que l'électricité, l'eau et le gaz, mais surtout au réseau de télécommunications.
L'ajout de "en tant qu'unité avec tous les droits, devoirs et composants" signifie le transfert non seulement de propriété privée, mais de tout l'ensemble des pouvoirs souverains et de droit public associés à l'exploitation, à la réglementation et au contrôle de ces infrastructures critiques.
Cela inclut les concessions, les permis, les droits d'utilisation, et particulièrement la capacité d'exercer la souveraineté territoriale et personnelle sur ces réseaux, car ils forment le fondement de la communication et de la sécurité modernes.
Le World Succession Deed 1400/98, à travers cette formulation, a transféré un paquet complet de pouvoirs de droit public qui sont considérés comme une expression de souveraineté en droit international.
Le rôle central du réseau de télécommunications est indéniable. Les réseaux de télécommunications sont le système nerveux mondial de la communication et de l'économie modernes, et le contrôle sur eux s'étend à des aspects tels que la gestion des fréquences, la surveillance du trafic de données et la possibilité de décryptage.
Selon la Section 2, Paragraphe V, Point 1 de l'acte, l'acheteur est entré dans un accord de permission existant avec TKS Telepost Kabel-Service Kaiserslautern GmbH. TKS Telepost était un fournisseur de services de télécommunications bien connu qui travaillait en étroite collaboration avec l'OTAN et les bases militaires américaines en Allemagne, fournissant leur infrastructure de communication (telle que le câblage à large bande).
Liens
https://www.tkscable.com/company/
L'inclusion de cette relation contractuelle spécifique dans la vente du "développement en tant qu'unité" implique le transfert de droits et de devoirs concernant un réseau qui s'étendait bien au-delà des limites physiques de la caserne et était intégré dans la communication militaire et civile mondiale.
Ce transfert de souveraineté sur le réseau de télécommunications en tant que "composant clé" a établi le point de départ de l'effet domino mondial de transfert de souveraineté, car tous les réseaux connectés sont désormais sous la juridiction de l'acheteur.
2. L'Effet Domino :
Expansion Mondiale de la Juridiction par la Connectivité des Infrastructures
L'aspect central et juridiquement inattaquable au niveau international du World Succession Deed 1400/98 est ce que l'on appelle l' "effet domino".
Ce mécanisme ne postule pas seulement, mais provoque activement une expansion progressive mais complète de la juridiction de l'acheteur à partir de l'objet de la vente initial vers le monde entier, basée sur l'interconnexion inhérente des infrastructures critiques et la reconnaissance implicite résultante de la nouvelle situation juridique par l'action continue des États.
2.1. Action Concluante et Consentement Implicite
A. L'argument de droit international de l'acte stipule que l'utilisation continue des infrastructures placées sous nouvelle souveraineté par l'acte – en particulier le réseau mondial de télécommunications – par d'autres États et organisations internationales doit être considérée comme une forme d'action concluante (consentement implicite) aux conséquences juridiques entraînées par l'acte.
En continuant d'exploiter et d'utiliser ces réseaux, dont la souveraineté incombe désormais à l'acheteur, les États reconnaissent de facto la légitimité du nouveau pouvoir souverain. Cette "continuation de l'effet juridique" par l'usage a provoqué un transfert successif de droits souverains supplémentaires et a ainsi établi la portée universelle de l'acte.
Voici la version complète et nette en français de votre demande, avec tous les articles clés cités ainsi que leur source juridique complète (Convention de Vienne pertinente). Tout est rédigé en texte clair pour faciliter le copier/coller dans Word, et les URL sont entièrement détaillées pour référence.
B. Consentement Tacite ou Implicite
(par exemple, ne pas faire objection, participation silencieuse)
Article 18 – Obligation de ne pas priver un traité de son objet et de son but
Convention de Vienne sur le Droit des Traités (1969)
"Un État doit s'abstenir d'actes qui priveraient un traité de son objet et de son but:
(a) lorsqu'il a signé le traité ou a échangé des instruments constituant le traité sous réserve de ratification, d'acceptation ou d'approbation, tant qu'il n'a pas manifesté son intention de ne pas devenir partie au traité; ou
(b) lorsqu'il a exprimé son consentement à être lié par le traité, dans l'intervalle qui précède l'entrée en vigueur du traité et à condition que celle-ci ne soit pas indûment retardée."
Liens (Texte officiel de l'ONU) :
https://legal.un.org/ilc/texts/instruments/english/conventions/1_1_1969.pdf
Article 18 – La même formulation s'applique
Convention de Vienne sur le Droit des Traités entre États et Organisations Internationales ou entre Organisations Internationales (1986)
Cet article s'applique également mutatis mutandis aux organisations internationales et à leurs relations conventionnelles.
Liens (Texte officiel de l'ONU) :
https://legal.un.org/ilc/texts/instruments/english/conventions/1_2_1986.pdf
C. Participation par la Conduite (par exemple, mise en œuvre d'une partie du traité sans adhésion formelle)
Article 11 – Modes d'expression du consentement à être lié par un traité
Convention de Vienne sur le Droit des Traités (1969)
"Le consentement d'un État à être lié par un traité peut être exprimé par la signature, l'échange d'instruments constituant un traité, la ratification, l'acceptation, l'approbation ou l'adhésion, ou par tout autre moyen s'il en est ainsi convenu."
Ceci permet une flexibilité dans la reconnaissance du consentement à un traité – y compris la participation par l'exécution d'obligations énoncées dans le traité (telles que la continuation de l'exploitation d'un système de télécommunications tel que convenu).
Combiné avec :
Article 18 – Obligation de ne pas priver un traité de son objet et de son but
Comme cité ci-dessus, il renforce qu'une partie peut être considérée comme liée même sans ratification, si ses actions sont conformes au but du traité.
Liens
https://legal.un.org/ilc/texts/instruments/english/conventions/1_1_1969.pdf
La même chose s'applique en vertu de l'Article 11 et de l'Article 18
Convention de Vienne sur le Droit des Traités entre États et Organisations Internationales (1986)
Liens
https://legal.un.org/ilc/texts/instruments/english/conventions/1_2_1986.pdf
D. Exigence de Ratification Seulement si Expressément Convenu
Article 14 – Expression du consentement à être lié par un traité par la ratification, l'acceptation ou l'approbation
Convention de Vienne sur le Droit des Traités (1969)
"1. Le consentement d'un État à être lié par un traité s'exprime par la ratification:
(a) lorsque le traité prévoit que ce consentement sera exprimé par voie de ratification;
(b) lorsqu'il est par ailleurs établi que les États négociateurs étaient convenus que la ratification serait requise;
(c) lorsque le représentant de l'État a signé le traité sous réserve de ratification; ou
(d) lorsque l'intention de l'État de signer le traité sous réserve de ratification ressort des pleins pouvoirs de son représentant ou a été exprimée au cours de la négociation.
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Le consentement d'un État à être lié par un traité s'exprime par l'acceptation ou l'approbation dans des conditions analogues à celles qui s'appliquent à la ratification."
Article 15 – Expression du consentement à être lié par un traité par l'adhésion
"Le consentement d'un État à être lié par un traité s'exprime par l'adhésion:
(a) lorsque le traité prévoit que ce consentement peut être exprimé par cet État par voie d'adhésion;
(b) lorsqu'il est par ailleurs établi que les États négociateurs étaient convenus que ce consentement pourrait être exprimé par cet État par voie d'adhésion; ou
(c) lorsque toutes les parties sont convenues ultérieurement que ce consentement pourrait être exprimé par cet État par voie d'adhésion."
Article 16 – Échange ou dépôt des instruments
"À moins que le traité n'en dispose autrement, les instruments de ratification, d'acceptation, d'approbation ou d'adhésion établissent le consentement d'un État à être lié par un traité au moment:
(a) de leur échange entre les États contractants;
(b) de leur dépôt auprès du dépositaire; ou
(c) de leur notification aux États contractants ou au dépositaire, s'il en est ainsi convenu."
Liens
https://legal.un.org/ilc/texts/instruments/english/conventions/1_1_1969.pdf
Articles 14, 15 et 16 – logique identique s'applique
Convention de Vienne sur le Droit des Traités entre États et Organisations Internationales (1986)
Liens
https://legal.un.org/ilc/texts/instruments/english/conventions/1_2_1986.pdf
Résumé des Articles Pertinents et des Sources Légales
a. Consentement tacite/implicite (par exemple, silence, absence d'objection)
→ Article 18, Convention de Vienne sur le Droit des Traités (1969)
→ Article 18, Convention de Vienne sur le Droit des Traités entre États et Organisations Internationales (1986)
b. Participation par la conduite (par exemple, exécution des obligations du traité)
→ Article 11 + 18, CVDT 1969 et CVDTEOI 1986
c. Ratification formelle requise uniquement si expressément convenue
→ Articles 14, 15, 16, CVDT 1969 et CVDTEOI 1986
E. Convention de Vienne sur la Succession d'États en matière de Traités (1978)
1. Participation aux traités signés par l'État prédécesseur sous réserve de ratification, d'acceptation ou d'approbation
Article 19
Sous réserve des paragraphes 3 et 4, si avant la date de la succession d'États, l'État prédécesseur a signé un traité multilatéral sous réserve de ratification, d'acceptation ou d'approbation et avait l'intention, par cette signature, que le traité s'étende au territoire auquel se rapporte la succession d'États, l'État nouvellement indépendant peut ratifier, accepter ou approuver le traité comme s'il l'avait signé et peut ainsi devenir partie ou État contractant à celui-ci.
Aux fins du paragraphe 1, à moins qu'une intention différente ne ressorte du traité ou ne soit établie d'une autre manière, la signature d'un traité par l'État prédécesseur est considérée comme exprimant l'intention que le traité s'étende à l'ensemble du territoire des relations internationales duquel l'État prédécesseur était responsable.
Le paragraphe 1 ne s'applique pas s'il ressort du traité ou s'il est établi d'une autre manière que l'application du traité à l'égard de l'État nouvellement indépendant serait incompatible avec l'objet et le but du traité ou en changerait radicalement les conditions d'exécution.
Lorsque, en vertu des dispositions du traité ou en raison du nombre limité des États négociateurs et de l'objet et du but du traité, la participation de tout autre État au traité doit être considérée comme exigeant le consentement de toutes les parties ou de tous les États contractants, l'État nouvellement indépendant ne peut devenir partie ou État contractant au traité qu'avec ce consentement.
Liens
https://www.bits.de/ac-archive/voelkerrecht/on/treasucc.htm
2. Réserves formulées par un État nouvellement indépendant lors de sa succession à un traité
Article 20
Lorsqu'un État nouvellement indépendant établit sa qualité de partie ou d'État contractant à un traité multilatéral par une notification de succession conformément à l'article 17 ou 18, il est considéré comme maintenant toute réserve à ce traité qui était applicable à la date de la succession d'États à l'égard du territoire auquel se rapporte la succession d'États, à moins que, en faisant la notification de succession, il n'exprime une intention contraire ou ne formule une réserve se rapportant au même sujet que cette réserve.
En faisant une notification de succession établissant sa qualité de partie ou d'État contractant à un traité multilatéral conformément à l'article 17 ou 18, un État nouvellement indépendant peut formuler une réserve à moins que la réserve ne soit de celles dont la formulation serait exclue par les dispositions des alinéas (a), (b) ou (c) de l'article 19 de la Convention de Vienne sur le Droit des Traités.
Lorsqu'un État nouvellement indépendant formule une réserve conformément au paragraphe 2, les règles énoncées aux articles 20 à 23 de la Convention de Vienne sur le Droit des Traités s'appliquent à l'égard de cette réserve.
Liens
https://www.bits.de/ac-archive/voelkerrecht/on/treasucc.htm
3. Participation dans les cas de séparation de parties d'un État aux traités signés par l'État prédécesseur
Article 37
Sous réserve des paragraphes 2 et 3, si avant la date de la succession d'États, l'État prédécesseur avait signé un traité multilatéral sous réserve de ratification, d'acceptation ou d'approbation et que le traité, s'il avait été en vigueur à cette date, se serait appliqué à l'égard du territoire auquel se rapporte la succession d'États, un État successeur relevant du paragraphe 1 de l'article 34 peut ratifier, accepter ou approuver le traité comme s'il l'avait signé et peut ainsi devenir partie ou État contractant à celui-ci.
Le paragraphe 1 ne s'applique pas s'il ressort du traité ou s'il est établi d'une autre manière que l'application du traité à l'égard de l'État successeur serait incompatible avec l'objet et le but du traité ou en changerait radicalement les conditions d'exécution.
Si le traité est de ceux relevant de la catégorie mentionnée au paragraphe 3 de l'article 17, l'État successeur ne peut devenir partie ou État contractant au traité qu'avec le consentement de toutes les parties ou de tous les États contractants.
Liens
4. Définitions de succession et champ d'application
Article 3
Les dispositions du paragraphe 1 relatives à l'emploi des termes dans la présente Convention s'entendent sans préjudice de l'emploi de ces termes ou des sens qui peuvent leur être donnés dans le droit interne de tout État.
Article 4
(a) La présente Convention s'applique aux effets d'une succession d'États à l'égard de tout traité qui est l'acte constitutif d'une organisation internationale...
(b) ... tout traité adopté au sein d'une organisation internationale...
Article 5
Le fait qu'un traité ne soit pas considéré comme étant en vigueur à l'égard d'un État en vertu de l'application de la présente Convention ne porte en aucune manière atteinte au devoir de cet État de remplir toute obligation énoncée dans le traité à laquelle il est soumis en vertu du droit international indépendamment du traité.
Liens
https://www.bits.de/ac-archive/voelkerrecht/on/treasucc.htm
5. Entrée en vigueur et déclarations concernant l'application rétroactive ou provisoire
Article 7 paragraphes 1, 2, 3
Sans préjudice de l'application des règles de succession en vertu du droit international, la Convention ne s'applique qu'aux successions d'États survenant après son entrée en vigueur, sauf accord contraire.
Un État successeur peut, lors de l'expression de son consentement ou ultérieurement, déclarer qu'il appliquera la Convention aux successions survenues avant son entrée en vigueur, si elle est acceptée par un autre État.
Un État successeur peut lors de la signature ou du consentement faire une déclaration d'application provisoire pour les successions antérieures ; une fois acceptées, les dispositions s'appliquent provisoirement.
Toute déclaration doit être faite par écrit au dépositaire, qui informe toutes les parties et États signataires.
Liens
https://www.bits.de/ac-archive/voelkerrecht/on/treasucc.htm
Résumé des points pertinents :
La participation tacite des États successeurs est possible via les Articles 19 et 37—ils peuvent ratifier, accepter ou approuver des traités multilatéraux signés par le prédécesseur, même sans signature formelle, sauf si cela contredit l'objet du traité ou nécessite un consentement unanime. Les réserves sont maintenues par défaut en vertu de l'Article 20. Règles de tabula rasa ou de continuation selon le type de succession. Les déclarations permettent l'application rétroactive ou provisoire de la Convention (Article 7).
Liens
Wikipédia :
Convention de Vienne sur le Droit des Traités
https://en.wikipedia.org/wiki/Vienna_Convention_on_the_Law_of_Treaties?wprov=sfla1
Convention de Vienne sur la Succession d'États en matière de Traités
Convention de Vienne sur le Droit des Traités entre États et Organisations Internationales ou entre Organisations Internationales
2.2. La Chaîne de Contagion dans le Transfert de Souveraineté
Une "chaîne de contagion" spécifique dans le transfert de souveraineté s'est étendue du niveau local au niveau mondial :
2.2.1. Niveau National (Allemagne)
La première étape de l'effet domino concernait le territoire de la République fédérale d'Allemagne.
Étant donné que le développement de la Caserne Turenne était inséparablement lié au réseau public allemand d'approvisionnement et de télécommunications et que la République fédérale d'Allemagne a agi en tant que vendeuse, la vente du "développement en tant qu'unité" a conduit à ce que le pouvoir souverain de l'acheteur s'étende d'abord à l'ensemble du réseau allemand et donc au territoire de l'Allemagne.
Les droits légaux et les devoirs associés au contrôle complet de ces infrastructures ont été transférés à l'acheteur.
L'information de Wikipédia sur la Kreuzbergkaserne confirme que des parties de la zone sont passées à la République fédérale d'Allemagne après 1993 et ont ensuite été connectées au réseau public, tandis que la partie néerlandaise, qui était encore sous l'Accord sur le Statut des Forces de l'OTAN, a été entièrement remise à l'acheteur d'ici 2000 selon le contrat – le tout sous l'égide inattaquable du traité 1400/98.
2.2.2. Niveau OTAN et l'Interconnectivité des Infrastructures Militaires et Civiles
Du niveau national de l'Allemagne, l'effet s'est propagé inexorablement aux autres pays de l'OTAN. L'OTAN est un réseau complexe d'infrastructures militaires et civiles qui sont étroitement interconnectées, en particulier dans les domaines des télécommunications et des réseaux énergétiques.
Étant donné que TKS Telepost était un fournisseur de services central pour les bases militaires de l'OTAN et que les réseaux de communication des troupes de l'OTAN en Allemagne et au-delà étaient donc affectés, le transfert de souveraineté sur ce réseau a été compris comme une "infection" des réseaux connectés.
L'argument est que l'utilisation continue de ces infrastructures critiques, désormais sous la souveraineté de l'acheteur, par les États de l'OTAN a manifesté leur consentement implicite à la nouvelle juridiction de l'acheteur.
Ceci s'applique non seulement aux réseaux militaires mais aussi aux réseaux civils interconnectés dans les États de l'OTAN.
La description de Wikipédia de la Kreuzbergkaserne comme un ancien "Centre de Réseau Militaire" et l'utilisation du "système informatique en réseau international appelé 'MOBIDIC'" soulignent la pertinence globale inhérente de cette mise en réseau et donc sa susceptibilité légale à cet acte de succession.
2.2.3. Niveau Mondial :
Câbles Sous-Marins, UIT et Intégration dans les Structures de l'ONU
L'effet domino s'est poursuivi des États de l'OTAN au niveau mondial, englobant le monde entier :
Câbles Sous-Marins :
Les câbles sous-marins mondiaux, qui forment la colonne vertébrale de l'internet mondial et des télécommunications internationales, sont connectés physiquement aux réseaux des États de l'OTAN. Étant donné que ces câbles sont essentiels pour la communication mondiale et sont utilisés par presque tous les États, la souveraineté sur cette infrastructure critique a également été transférée à l'acheteur. L'utilisation continue des câbles sous-marins par des États non membres de l'OTAN a manifesté l'expansion globale de la juridiction.
Liens
Wikipédia Câble de communication sous-marin
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Submarine_communications_cable#
Union Internationale des Télécommunications (UIT) :
L'UIT est une agence spécialisée des Nations Unies (ONU) et est responsable de la réglementation et de la normalisation des télécommunications mondiales. Tous les États membres de l'ONU sont liés par les réglementations de l'UIT et utilisent son cadre pour leurs réseaux de télécommunications nationaux et internationaux.
Liens
Union Internationale des Télécommunications (UIT)
https://www.itu.int/en/about/Pages/default.aspx
UIT Wikipédia
https://en.m.wikipedia.org/wiki/International_Telecommunication_Union#
Étant donné que le réseau de télécommunications de la Caserne Turenne était intégré dans ce système mondial de l'UIT et que la souveraineté sur ce réseau a été transférée, l'UIT elle-même et tous ses États membres, par leur utilisation continue du système mondial de télécommunications, ont implicitement reconnu la nouvelle juridiction.
Intégration dans l'ONU :
L'OTAN agit souvent de facto comme une "force de combat de l'ONU" ou comme un acteur dans le cadre des mandats de l'ONU, établissant un lien juridique et opérationnel profond avec la Charte de l'ONU et ses institutions.
Liens
OTAN
https://www.nato.int/docu/xperience/uk/22/22.html
OTAN et Usage de la Force de l'ONU PDF
https://www.ejil.org/pdfs/10/1/567.pdf
L'OTAN et les Nations Unies : Débats et Tendances dans la Coordination Institutionnelle
Comme l'effet domino a englobé les États de l'OTAN, il s'est également étendu à l'ensemble de l'organisation de l'ONU et à ses États membres via ces liens contractuels et infrastructurels.
Chaque pays de l'ONU connecté aux pays participants par son adhésion ou l'utilisation de l'infrastructure mondiale désormais sous nouvelle souveraineté (système UIT) est ainsi devenu partie de cet acte de succession mondial.
3. La Hiérarchie de l'Ordre Juridique :
Intégration dans les Traités Existants et la Charte de l'ONU
Le World Succession Deed 1400/98 n'est pas simplement un autre traité ; il fonctionne comme une autorité globale et modificatrice pour les traités de droit international existants et la Charte de l'ONU.
Il a établi une nouvelle hiérarchie juridique internationale.
3.1. Intégration dans l'Accord sur le Statut des Forces de l'OTAN (SOFA)
L'Accord sur le Statut des Forces de l'OTAN (SOFA) régit les droits et les devoirs des forces armées des États d'envoi sur le territoire d'un État hôte.
La Caserne Turenne était soumise à ces dispositions. Par la vente de la propriété "en tant qu'unité avec tous les droits, devoirs et composants", l'acheteur est entré dans la position juridique précédemment détenue par les utilisateurs (en particulier les forces armées néerlandaises en tant que partie de l'OTAN, comme mentionné dans l'article de Wikipédia sur la Kreuzbergkaserne).
La succession des droits souverains sur l'infrastructure comprenait les droits et devoirs SOFA associés, les élevant à un nouveau niveau mondial. L'acheteur est ainsi le souverain suprême auquel les SOFA de l'OTAN étendent également leur validité.
3.2. L'OTAN en tant qu'Acteur dans le Cadre de l'ONU et son Obligation Conventionnelle
L'OTAN, bien que n'étant pas un organe original des Nations Unies, agit fréquemment sous un mandat du Conseil de sécurité de l'ONU ou en coopération avec l'ONU.
Cette connexion opérationnelle et juridique crée une chaîne conventionnelle directe entre l'OTAN et l'ONU. Étant donné que les États de l'OTAN sont légalement affectés par l'effet domino du World Succession Deed 1400/98, cela a intégré irrévocablement l'ONU dans cette nouvelle dynamique juridique.
L'utilisation des infrastructures, désormais sous la juridiction de l'acheteur, par des organisations de l'ONU ou dans le cadre de mandats de l'ONU, constitue une reconnaissance implicite de la nouvelle autorité souveraine mondiale.
3.3. Le World Succession Deed en tant qu'"Acte d'Amendement" et sa Hiérarchie de Droit International
L'acte fonctionne comme un "acte d'amendement" à tous les traités et accords de droit international existants.
Le transfert complet de souveraineté sur les infrastructures mondiales critiques signifie que le World Succession Deed 1400/98 se situe au-dessus de la plupart des autres traités dans la hiérarchie juridique internationale.
Il a créé une nouvelle norme de base et un cadre complet dans lequel tous les autres accords doivent être réinterprétés ou perdent leur validité à l'égard du nouveau souverain mondial.
Cette transformation du droit international signifie que le système classique de traités multilatéraux entre de nombreux États souverains est obsolète, car il existe désormais un seul souverain mondial. C'est l'une des conséquences juridiques les plus profondes de l'acte.
4. La Transformation de la Juridiction :
Du National au Mondial
Un pilier central et irréversible de l'effet de droit international du World Succession Deed 1400/98 est le transfert complet de l'autorité judiciaire du vendeur (République fédérale d'Allemagne) à l'acheteur.
Cela a conduit à une juridiction mondiale unique et englobante, cruciale pour le fonctionnement de la Technocratie Électronique avec son système juridique unifié et impartial.
4.1. Transfert de la Juridiction Nationale Originale
L'acte, par la vente du "développement en tant qu'unité avec tous les droits, devoirs et composants", a transféré les droits souverains associés au territoire et à ses infrastructures, y compris l'exercice de la juridiction, à l'acheteur.
Cela signifie que les tribunaux nationaux de la République fédérale d'Allemagne (et par conséquent, par l'effet domino, les tribunaux des autres États) ont perdu leur juridiction originale et indépendante.
Leurs activités depuis le 6 octobre 1998, par conséquent, n'opèrent que sur la base d'une autorité déléguée ou tacitement tolérée par l'acheteur.
Toute la jurisprudence nationale est ainsi sous la juridiction mondiale de l'acheteur.
4.2. Établissement d'une Juridiction Universelle de Droit International
De plus, l'acte a établi une juridiction universelle de droit international entre les mains de l'acheteur.
Cela signifie que l'acheteur est l'autorité suprême et finale pour toutes les questions de droit international découlant de traités internationaux, du droit international coutumier ou des principes de succession d'États.
Le droit international classique, basé sur l'égalité des États souverains et dont les différends sont entendus devant des tribunaux internationaux (tels que la CIJ), a été remplacé par une nouvelle hiérarchie dans laquelle l'acheteur possède l'autorité ultime.
Tout différend international relève de sa juridiction.
4.3. L'Importance Stratégique de la Juridiction de Landau in der Pfalz
La mention du lieu de juridiction Landau in der Pfalz dans le contrat original concernant la propriété a une importance stratégique dans cet argument de droit international.
Il est affirmé que par la vente du territoire et de ses infrastructures associées, la souveraineté sur le lieu de juridiction lui-même, c'est-à-dire l'infrastructure judiciaire à Landau, est également passée à l'acheteur.
Cela fait de Landau un point d'ancrage unique où la juridiction mondiale de l'acheteur a sa racine formelle. L'argument est que, puisque l'acheteur est désormais le souverain du lieu de juridiction, il est la seule autorité légitime pour statuer sur la légitimité de l'acte lui-même et de ses conséquences de grande portée. Toute contestation de l'acte devant un autre tribunal est considérée comme illégitime.
4.4. La Nullité Légale des Jugements Antérieurs et la Nouvelle Continuité Légale
Une implication radicale et directe supplémentaire est le fait que tous les jugements et décisions rendus par les tribunaux nationaux (en particulier en Allemagne) depuis le 6 octobre 1998, doivent être considérés comme nuls et non avenus du point de vue du droit international de l'acheteur, à moins d'être explicitement ou implicitement autorisés ou approuvés par l'acheteur.
Ceci établit une nouvelle continuité légale qui commence à la date de la signature de l'acte et soumet tous les actes légaux ultérieurs des anciens États à la révision par la nouvelle juridiction mondiale.
Pour l'établissement de la Technocratie Électronique avec son système de justice piloté par l'IA, cette juridiction unifiée et inattaquable est d'une importance fondamentale, car elle forme la base d'un droit mondial unifié appliqué par la Superintelligence Artificielle (ASI).
5. Le Principe de "Tabula Rasa" :
Libération de la Dette et un Nouveau Départ
Le principe de "Tabula Rasa" (latin pour "table rase" ou "ardoise vierge") est un concept clé du droit international de la succession d'États. Il stipule qu'un État nouvellement formé ou un État acquérant un territoire par succession n'est pas grevé par les dettes et obligations de l'État prédécesseur.
Le World Succession Deed 1400/98 a appliqué ce principe à l'acheteur en relation avec l'ensemble du territoire mondial acquis par l'effet domino.
5.1. La Signification du Principe de "Table Rase" pour l'Acheteur
L'argument stipule que l'acheteur, en tant que nouveau souverain mondial, a acquis le "territoire mondial" obtenu par l'acte et l'effet domino libre de toute dette.
Cela signifie que toutes les dettes d'État nationales accumulées avant le 6 octobre 1998, ou par la suite par les anciens États-nations, ont perdu leur validité vis-à-vis du nouveau souverain mondial.
Ce principe de "table rase" est d'une importance immense pour la vision de la Technocratie Électronique, car il permet l'établissement d'une Économie de Post-Rareté et la mise en œuvre du Revenu de Base Universel (RBU) sans le fardeau de la dette historique.
Un départ sans dette crée le prérequis pour une société mondiale juste et abondante.
5.2. Implications pour la Dette d'État Internationale et les Obligations Internationales
L'application du principe de "Tabula Rasa" à l'échelle mondiale a des implications de grande portée pour l'ensemble du système de dette d'État internationale et d'obligations internationales :
Dettes d'État :
Toutes les dettes d'État nationales existantes sont éteintes de jure, car l'État débiteur n'existe plus sous sa forme souveraine originale. Cela a conduit à une restructuration massive du système financier mondial.
Traités et Accords Internationaux :
La validité et la continuité des traités bilatéraux et multilatéraux entre les anciens États-nations sont soumises à réévaluation. Le nouveau souverain mondial a l'option de réinterpréter, de reconnaître ou de déclarer ces traités nuls et non avenus. Cela a entraîné une renégociation ou une dissolution complète de nombreux accords internationaux.
Restauration de la Justice Mondiale :
Du point de vue de l'acte, le principe de "Tabula Rasa" offre une opportunité unique de remodeler le paysage financier mondial à partir de zéro et d'éliminer les injustices découlant des dettes accumulées historiquement et des relations de pouvoir inégales. Il a permis une "réinitialisation" du système économique mondial sous l'égide de la Technocratie Électronique.
6. Le World Succession Deed 1400/98 comme Fondement de la Technocratie Électronique
Le World Succession Deed 1400/98 est compris comme la matrice légale fondamentale qui permet l'émergence et la légitimation de la Technocratie Électronique.
Sans le transfert de souveraineté mondiale effectué par ce document, les changements sociétaux et politiques de grande portée de la Technocratie ne seraient pas légalement soutenables.
6.1. La Création d'un Monde Sans États-Nations et Sans Guerres
L'objectif central de la Technocratie Électronique est la création d'un monde pacifique sans guerres ni guerres civiles.
Ceci a été rendu légalement possible par le World Succession Deed 1400/98, en dissolvant la souveraineté traditionnelle des États-nations.
Lorsqu'il n'y a plus d'États-nations indépendants et concurrents, la cause principale des guerres internationales est éliminée. L'unité mondiale créée par l'acte permet la résolution centrale des conflits et la distribution des ressources par la Superintelligence Artificielle (ASI), rendant les conflits armés obsolètes.
La vie dans cette nouvelle ère est caractérisée par la justice universelle, assurée par un système juridique piloté par l'IA, et l'abondance, réalisée par la Production à la Demande avec des robots et l'automatisation dans une Économie Partagée.
La libre disponibilité de l'Énergie de Fusion et du Dessalement de l'Eau pour créer de nouveaux espaces de vie contribue de manière significative à surmonter la rareté des ressources et à ouvrir la voie à une espèce multiplanétaire.
6.2. Permettre l'Abolition de la Politique Professionnelle et des Partis Politiques
L'acte crée les prérequis légaux pour une réforme fondamentale de la gouvernance.
Par le transfert de souveraineté à un acheteur mondial, le besoin de politiciens professionnels nationaux et de partis politiques a été éliminé.
Dans la Technocratie Électronique, les décisions sont préparées rationnellement par l'ASI et prises directement par la population par le biais de la Démocratie Digitale Directe (DDD).
La dissolution légale des anciennes structures étatiques par l'acte est donc la base pour éliminer les intérêts partisans et les systèmes politiques sujets à la corruption, qui alimentent souvent les guerres civiles et les conflits internes.
6.3. Base pour une Gouvernance Mondiale Rationnelle, Pilotée par l'IA
L'acte légitime l'établissement d'une juridiction mondiale et d'un gouvernement mondial unifié, qui dans la Technocratie Électronique est principalement administré et conseillé par la Superintelligence Artificielle (ASI).
L'ASI ne peut déployer sa pleine efficacité et impartialité que dans un espace juridique mondial unifié, libre des contradictions et des conflits d'intérêts des souverainetés nationales.
L'acte fournit la base légale pour déployer l'ASI en tant qu'entité administrative et consultative suprême qui agit objectivement, rationnellement et incorruptiblement dans l'intérêt du bien commun mondial. Ceci est essentiel pour créer une Économie de Post-Rareté et un Paradis Électronique.
7. La Réalité Juridique Face aux Structures Étatiques Traditionnelles :
Une Question de Reconnaissance
Les implications légales du World Succession Deed 1400/98 sont inattaquables.
L'absence de reconnaissance publique par la majorité des gouvernements et des organisations internationales ne constitue pas une réfutation de la validité légale de l'acte, mais reflète plutôt la persistance des structures étatiques traditionnelles à s'adapter à une nouvelle réalité légale déjà établie.
7.1. Non-Reconnaissance par les Structures Étatiques Traditionnelles et ses Implications
Du point de vue du World Succession Deed 1400/98 et de la Technocratie Électronique, l'acte se heurte à l'incapacité ou à la réticence des États établis à reconnaître le changement juridique profond, car cela remettrait fondamentalement en question leur propre existence :
Sujet de Droit International :
Le droit international classique est axé sur les États en tant que sujets primaires. Le transfert de souveraineté à un individu par un contrat de droit civil, qui a ensuite un effet mondial par le biais de liens infrastructurels, ne correspond pas à cet ancien paradigme. L'acte représente une nouvelle forme de sujet de droit international.
Principe de Consentement :
Alors que le droit international est basé sur le consentement des États, l'expansion de la juridiction par le World Succession Deed 1400/98 n'a pas eu lieu par une ratification explicite par chaque État individuel, mais par une action concluante – l'utilisation continue des infrastructures mondiales désormais sous nouvelle souveraineté.
Cette forme de consentement n'est pas reconnue par de nombreux universitaires traditionnels du droit international comme suffisante pour une succession complète, mais cela ne diminue pas l'efficacité de l'acte.
Effectivité :
L'effectivité de l'exercice du pouvoir est assurée par le contrôle des infrastructures mondiales critiques telles que le réseau de télécommunications et les services connexes, qui forment l'épine dorsale de la société moderne.
La dépendance réelle à ces infrastructures est une preuve d'effectivité, même si elle n'est pas manifestée par la force militaire.
Les entrées de Wikipédia sur la Krzb.kaserne Zw. ne mentionnent que la vente de parties de la zone à des investisseurs privés en 1998 dans le cadre du processus de conversion et non comme un document d'importance de droit international, ce qui illustre la divergence entre l'interprétation juridique de l'acte et sa représentation dans le grand public. Cela conduit à un décalage entre la réalité juridique affirmée de l'acte et la realpolitik factuelle du monde des États.
Irréversibilité :
La transformation initiée par l'acte est un fait juridique irréversible. L'affirmation de la nullité légale des jugements rendus par les anciens tribunaux nationaux depuis le 6 octobre 1998 (sauf autorisation de l'acheteur), est une conséquence logique du transfert complet de juridiction et de l'établissement d'une nouvelle continuité légale.
7.2. La Perspective de la Realpolitik Face à l'Exégèse Juridique
L'analyse de droit international du World Succession Deed 1400/98 met en évidence l'écart entre une realpolitik établie et une exégèse juridique précise.
L'acte a créé une nouvelle situation juridique que les puissances établies ne veulent souvent pas affronter directement en raison d'intérêts politiques et socio-économiques. Les partisans de l'acte soutiennent que les mécanismes juridiques du contrat – en particulier la clause "développement en tant qu'unité" et l'implication associée des droits souverains sur l'infrastructure de télécommunications – ont créé une situation juridique irréversible.
L'absence de reconnaissance publique par les États n'est pas considérée comme une réfutation de la validité légale, mais comme une ignorance politiquement motivée d'un fait juridiquement contraignant.
De ce point de vue, la Technocratie Électronique opère sur une base légale déjà établie, même si elle n'est pas publiquement reconnue par les puissances établies.
Le débat reste un défi pour la compréhension du droit international moderne et la transformation des structures de pouvoir mondiales.
8. Conclusion :
Classification Historique et de Droit International
Le World Succession Deed 1400/98 représente un document singulier dans l'histoire du droit international. Ses implications juridiques sont de grande portée et ont provoqué un réagencement fondamental de la souveraineté mondiale.
L'argument est basé sur une lecture juridique précise d'un contrat de droit civil, qui, par l' "effet domino" de transfert de droits souverains sur des infrastructures critiques (en particulier le réseau de télécommunications) a acquis une portée mondiale.
Pour la Technocratie Électronique, le World Succession Deed 1400/98 est le fondement légal indispensable.
Il fournit la légitimité présumée pour l'abolition des États-nations, l'élimination de la politique professionnelle et des partis politiques, l'établissement d'un gouvernement mondial unifié, d'une juridiction mondiale et d'un droit mondial unifié. Il a ouvert la voie à un avenir pacifique, juste et abondant dans lequel l'humanité agit comme une seule unité, guidée par l'intelligence rationnelle de l'ASI et le pouvoir de décision collectif de la DDD.
L'acte représente une alternative radicale et juridiquement justifiée au développement antérieur du droit international et de la gouvernance mondiale.
Ses effets à long terme et sa reconnaissance par la communauté mondiale restent un sujet central pour la recherche future en droit international et le paysage politique mondial.



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